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Vous pensez avoir été victime d’un accident médical, d’une erreur médicale, d’un aléa thérapeutique, une affection iatrogène, ou d’une infection nosocomiale et vous vous posez des questions. Vous pouvez obtenir des informations sur vos droits grâce à notre site ainsi que sur les procédures d’indemnisation qui s’offrent à vous. Les victimes d’accidents médicaux peuvent aujourd’hui prétendre à l’indemnisation de leur préjudice grâce à l’instauration de procédures amiables devant les Commissions de Conciliation et d’Indemnisation (CCI) créées par la loi Kouchner du 4 mars 2002.

Par ailleurs, les victimes peuvent toujours saisir la justice dans le cadre de procédures plus classiques, qu’il s’agisse d’une procédure civile aux fins d’obtenir une réparation et une indemnisation ou d’une procédure pénale afin d’obtenir une éventuelle sanction du médecin ou du professionnel de santé fautifs.

En savoir plus

  • En bref

    Sur le plan de l’indemnisation, le délai de recours (délai de prescription) est de dix ans à partir de la consolidation c’est-à-dire à partir du...

  • Loi Kouchner

    La loi Kouchner du 4 mars 2002 relative aux droits des malades, à la qualité du système de santé et au droit à la protection de la santé. Cette loi,...

  • Erreurs médicales

    La loi Kouchner du 4 mars 2002 rappelle donc le principe de la responsabilité des médecins et des établissements de santé pour faute. Ce principe de la...

  • Aléa thérapeutique

    Soyez vigilants, tout accident médical n’est pas nécessairement une erreur médicale au sens communément utilisé. En effet, il peut arriver qu’un...

  • Affection iatrogène

    La survenue d’un accident médical ne rime pas nécessairement avec responsabilité du professionnel de santé (responsabilité du médecin,...

  • Infection nosocomiale

    Les infections nosocomiales demeurent un enjeu de santé public majeur et constitue l’une des principales craintes des patients lors d’un séjour en hospitalisation. Selon...

  • L'ONIAM

    La loi Kouchner du 4 mars 2002 a créé l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux et affection iatrogène (ONIAM) qui constitue un fonds de...

  • Procédure devant la CCI

    Créées par la loi Kouchner du 4 mars 2002, les Commissions de Conciliation et d'Indemnisations ne sont pas des juridictions mais des autorités administratives dont l'objectif...

Vos questions, nos réponses

Qui va déterminer mon droit à indemnisation ?

Si vous êtes passager d’un véhicule, piéton ou cycliste, pas de difficultés : la loi vous garantit une indemnisation intégrale. C’est l’assureur du véhicule vous transportant (pour les passagers) ou l’assureur du véhicule adverse qui devra vous indemniser. Dans les autres cas, pour déterminer votre droit à indemnisation, le procès-verbal de police ou de gendarmerie est une pièce essentielle. Il va permettre de déterminer les circonstances de l’accident et les fautes éven­tuelles des conducteurs. Votre indemnisation en dépend si vous étiez conducteur au moment des faits. Si vous n’avez commis aucune faute de conduite, votre droit à indemnisation est total. Si on peut vous reprocher une faute, votre indemnisation risque d’être réduite selon la gravité de cette faute. Tout cela, c’est le procès-verbal d’accident qui va le déterminer. Soyez vigilants, l’expérience démontre qu’un grand nombre de procès-verbaux sont imprécis, incomplets. Parfois ce sont les situations qui sont litigieuses. Enfin, n’ignorez pas que les assureurs ont, entre eux, des conventions qui prévoient, dans certaines circonstances un partage de responsabilité automatique qui réduira d’autant votre droit à indemnisation. Pour éviter ces pièges, il faut agir rapidement et ne pas hésiter à prendre conseil.


Sans procès-verbal, comment démontrer la qualité de piétons, de cyclistes ou de passagers afin d'obtenir rapidement une provision ?

Certes la Loi Badinter du 5 juillet 1985 garantit l’indemnisation des victimes qui n’étaient pas conductrices au moment de l’accident. Néanmoins, la difficulté sera de démontrer votre qualité de piéton, de cycliste ou de passager. Devoir attendre le procès-verbal pourrait prendre plusieurs mois et retarderait d’autant toute provision. Il existe néanmoins des moyens simple pour démontrer que vous n’étiez pas conducteur. Pour les passagers, une attestation du conducteur fera l’affaire. Dans les autres cas, il est conseillé de demander au commissariat ou à la gendarmerie chargé de l’enquête un « triplicata d’accident », formulaire simplifié constatant l’accident et l’identité des personnes impliquées. On peut aussi produire des articles de presse mentionnant que la victime était cycliste ou piéton. Ces preuves sont admises par les tribunaux et doivent satisfaire votre assureur.


En cas d'accident de la route, doit-on attendre d'obtenir le procès-verbal pour obtenir une provision ?

La loi Badinter du 5 juillet 1985 prévoit un droit à indemnisation intégrale pour certaines catégories de victimes : les passagers d’un véhicule, les piétons ou les cyclistes heurtés par un véhicule, les conducteurs ayant quitté le volant au moment de l’accident et considérés dès lors comme piétons. Dans tous ces cas, sauf faute exceptionnellement grave (et rarement retenue) de la part des victimes, l’indemnisation est acquise quelque soient les circonstances. Plus besoin d’attendre les conclusions de l’enquête sur les responsabilités pour déclencher les premières demandes de provisions sur votre indemnisation définitive. Ainsi, le processus indemnitaire pourra commencer sans attendre d’obtenir la copie du procès-verbal. Parfois, les assureurs jouent la montre afin de gagner du temps. En théorie, si la victime n’était pas conductrice au moment de l’accident et que cela peut être prouvé, une provision doit être versée sans délai et une expertise médicale doit être mise en place.


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